Sur les 3 jours que nous venons de passer dans le cercle de DOUENTZA, nous avons rendu visite à 4 villages nouvellement jumelés avec des groupes LACIM (DOUNKOYE, BOBOWEL, YOUNA, MANKO) et à un village non jumelé dans lequel LACIM s'implique pour un puits (TEGA) et ou nous serons les témoins d'une véritable comédie villageoise montée par les hommes, toujours eux!!.
500 km dont la moitié de pistes à la rencontre d'une immense pauvreté. Ce que j'avais rencontré jusqu'alors n'est rien par rapport au dénuement de ces villages. Souvent des problèmes énormes d'eau, pas d'école, pas d'accès à un dispensaire, une insuffisance de ressources alimentaires criante.
Malgré cela une grande volonté d'avancer avec un grand espoir mis dans les jumelages.
Les réunions de village sont toujours animées avec une remarquable participation des femmes.Il faut vraiment suivre le parcours que j'ai entrepris sur ce terrain de l'Afique profonde pour commencer à comprendre quelles sont les priorités des villageois. En tout cas l'école n'arrive qu'en dernier point !
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