04/02/2009

Les universités africaines saturées et démunies

Avec cinq mois de retard, les cours reprennent cette semaine à l'université de Ouagadougou, longtemps paralysée par une grève à rebondissements des enseignants. Les étudiants s'apprêtent à reprendre leurs habitudes : se lever à cinq heures pour décrocher une place pour un cours en amphi qui commence à huit.

En attendant que Ouaga-II, dont la première pierre a été posée en 2008, voie le jour. En attendant aussi que la " politique de double ou triple flux ", envisagée pour absorber des effectifs qui ont encore grimpé en flèche cette année, soit mise en place. " Un professeur donnera deux fois, voire trois si besoin, le même cours au même niveau ", explique le président de l'université, Jean Koulidiati.

Pour lire la totalité de l'article paru dans Le Monde daté du 5 février 2008, cliquer ici pour le télécharger

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